Aujourd’hui plus que jamais, Covid-19 oblige, nous sommes tous conscients de la nécessité d’avoir un matériel de vape parfaitement propre au quotidien. Sachant que cet appareil est porté à la bouche plusieurs dizaines de fois par jour, limiter ls risques de contamination et appliquer de bons principes d’hygiène est une évidence. Bien sûr, lorsqu’on parle de nettoyage, il est surtout question de l’atomiseur. Pour les box et autres batteries, en effet, un coup de chiffon est largement suffisant.

Un atomiseur nickel

Le drip-tip que nous avons en permanence en bouche peut être nettoyé chaque jour, à l’eau savonneuse ou avec du désinfectant contenant de l’alcool. Cela permet de retirer la poussière accumulée ou les peaux mortes provenant de nos lèvres. Les autres composants de l’atomiseur doivent être nettoyés tout aussi régulièrement. L’opération peut se faire à l’occasion du remplacement de la résistance sur un clearomiseur ou lors du renouvellement du coton sur un modèle reconstructible.

A chacun sa méthode :

La plus simple : Un lavage à l’eau tiède avec une goutte de liquide vaisselle de préférence bio ou peu parfumé, suivi d’un rinçage à l’eau claire.

La plus pêchu : Plonger l’ensemble des éléments (à l’exception des joints) dans un récipient contenant un mélange d’eau chaude et de vinaigre blanc auquel on ajoutera du bicarbonate de soude. Terminer par un rinçage à l’eau claire.

La plus techno : Le bac à ultrasons se présente comme une solution de plus en plus abordable. Il assure un excellent nettoyage sans provoquer une détérioration du matériel (absence de frottement).

La plus pratique : Pour les nettoyages ponctuels et rapides, des produits adaptés sont disponibles, à l’image de l’Aseptivape qui se présente sous la forme d’un petit pulvérisateur simple à utiliser.